du 2 au 6 juillet 2018 – Séjour dans les Pyrénées

2 juillet – Départ pour les Pyrénées
Nous partons de bonne de Nyons pour nous retrouver à Villefranche-de-Conflent à l’heure du pique-nique sous les remparts de la ville. Après une visite nous avons rejoint l’Ancienne Auberge à Bolquère où nous prenons nos quartiers.

3 juillet – Le Canigou.
Le lendemain matin nous redescendonss à Villefranche-de-Conflent pour rejoindre les 4X4 qui, par un chemin défoncé, nous déposent à la porte du refuge des Cortalets à 2150 m. Le site est superbe, au milieu des genêts et des rhododendrons en fleurs. La montée, assez tranquille au départ, devient de plus en plus caillouteuse au fur et à mesure de l’ascension ; heureusement la vue sur la vallée de la Têt reste splendide malgré quelques brumes qui nous accompagnent jusqu’au sommet où le sentier devient très pierreux. Mais nous voilà au sommet : 2785 m pour un repos bien mérité.
La descente s’effectue sans encombre jusqu’au refuge, puis retour en 4X4 et voitures jusqu’à Bolquère.

4 juillet – Gorges de la Carança
En voiture pour Thuès-entre-Valls, point de départ de la rando du jour : les gorges de la Carança. Pour commencer, 150 m. de dénivelé pour s’échauffer et atteindre le sentier qui surplombe la Carança sur toute sa longueur. Nous empruntons la corniche qui serpente dans la montagne, au-dessus de la rivière, passons dans de petits tunnels avant d’arriver aux passerelles suspendues ou fixées aux parois, ponts de singes et des échelles qui se au fur et à mesure de notre parcours nous rapprochent du lit de la rivière.
Après notre pique-nique habituel le retour se fait par la rive opposée, sur un chemin assez accidenté jusqu’à notre point de départ.

5 juillet – Le train Jaune
Nous sommes partis à pieds prendre le Train Jaune des Pyrénées qui relie Villefranche-de-Conflent à Latour-de-Carol en 63 km. Nous nous sommes contentés d’une petite descente depuis Bolquère jusqu’à Fontpédrouse après avoir franchi plusieurs tunnels et le fameux pont de Cassagne ou pont Gisclard (concepteur de l’ouvrage). De là nous avons pris les sentiers vers notre gite non sans être passés aux Bains de Saint Thomas, source d’eau sulfureuse à 58 degrés et qui offre des bassins à 37°C.
Le chemin du retour s’effectue sans difficulté sur un chemin agréable et nous arrivons au gite une demi-heure avant l’orage.